Chapitre 1 : rentrée

(dans ce premier post, nous auront la totalité du chapitre 1, corrigé et lissé pour adapter les styles. À la suite de ce post, seront postée les "petits bouts" dans lesquels on aura repris les fautes d'orthographes et les phrases étranges. Donc pour le moment, rien n'est posté dans ce premier post, et c'est normal)

UTILISÉ !!

(J'ai simplement repris les fautes d'orthographes et les tournures de phrases qui me semblaient étrange. Vous pouvez repasser derrière-moi si vous en ressentez le besoin j'ai également rajouté quelques explications. N'oublions pas que le lecteur ne connaît rien du lycée radioactif dans lequel il se trouve ^^)

Elle restait figée, choquée par ce qu'elle venait de voir, n'en croyant pas ses yeux. Et cette scène... cette scène... Il lui semblait que les étranges silhouettes dansaient encore devant ses yeux...

Cela lui trottait dans la tête sans qu'elle parvienne à l'effacer. La Lpiiene enleva sa couverture tellement elle étouffait. Ses mains tremblaient et sa respiration était courte et rapide. Elle enfonça à plusieurs reprises sa tête dans son oreiller dans l'espoir d'oublier cette vision... En vain. Pour se calmer, elle prit de longues respirations. Essayant de se changer les idées au moins juste qu'au matin, Amandine prit son téléphone posé sur une table de nuit. Son portable lui servait de montre de réveil et de fuseaux horaires par la même occasion. Il était d'ailleurs inscrit "5h50".
Elle soupira.

La jeune élève referma les yeux et fit se que n'importe qui aurait fait après un mauvais rêve : penser à un autre, un plus gai, un de ceux où l'on espère ne jamais se réveiller. Un sourire se dessina alors sur son visage. Malheureusement, cela ne dura pas longtemps, en tout cas pas assez pour qu'elle puisse s'endormir.

Habituellement, quand on fait un cauchemar, tout s'arrête au réveil. On retrouve sa chambre, si familière, et on finit par oublier. Mais Amandine savait pertinemment qu'il ne s'agissait pas d'un simple cauchemar.
Elle était arrivée au LP2I il y a un an. Un an exactement, pratiquement jour pour jour.
Et, au fil des mois, ses nuits avaient peu à peu pris une tournure étrange. Certains scientifiques appellent cela, avec un air important, des "rêves prémonitoires".

Un "tut tut tut" en continu se fit entendre, c'était les éboueurs. Elle ré-ouvrit ses yeux bleus et murmura quatre mots simplicimes :

- Je-vais-vous-TUER !

Puis dans un mouvement brusque sa tête se retrouva sous son oreiller, ce qui fit tomber son doudou, un petit lapin. Cela la fit réagir tout de suite et elle le reprit dans ses bras, le serrant aussi fort qu'elle le pouvait formant comme un mur protecteur autour de ce petit être.

- Désolée ! Ça ne se reproduira plus je te le promet !

Celle-ci reprit en main son portable quelques instant après. Cette fois-ci on pouvait lire "6h30". Bon, il lui restait vingt minutes pour ESSAYER de se reposer. Amandine fit défiler son menu, et en même temps les fuseaux horaires des différents pays. Son regard s'arrêta sur "13h30". La jeune fille réagit gaiement:

- Oh ! Les japonais doivent être en train de manger un truc délicieux !

Elle reposa son téléphone et croisa les bras tout en faisant attention de ne pas trop écraser son doudou bien-aimé. Sa tête était vide,vide de toute pensée. Il fallait attendre c'était tout, puisque dorénavant "l'espoir dormir" était mort.
Puis soudain une lumière et une mélodie se déclenchèrent. Sa main éteignit l'objet bruyant et elle articula difficilement.

- HEINNN ? déjà ?

Nouveau soupir.
Elle sortit de son lit, traîna péniblement ses pieds jusqu'aux escaliers et les descendit dans le noir complet. Le craquement des marches la rendait encore plus nerveuse. Amandine prit ses vêtements préparés la veille et fila dans la salle de bain. Après avoir souffert quelques instant à cause de la lumière, elle ouvrit la porte des toilettes au maximum, formant ainsi une barrière entre sa chambre et celle des voisines. Ceci dans un seul but, ne pas faire de rencontre gênante avec en face. Elle disposait d'une chambre pour elle seule, autant en profiter pour éviter ce genre de... désagréments. Cela terminé, elle alluma la douche en faisant bien attention de ne pas être arrosée. L'eau mettait deux bonnes minutes avant d'atteindre une température potable. Après s'être déshabillée, elle entra dans la douche encore tiède. Sous l'eau, son rêve refit surface:

- Mais qui sont-ils ? se demanda-t-elle, interloquée.

Elle y réfléchit un moment mais fut coupée par l'eau qui cessa soudain de couler. Quand le nettoyage fut terminé, Amandine hasarda une main hors de la cabine pour trouver de quoi s’essuyer. Malheureusement, sa serviette n'avait pas bougé de son porte manteau. Il fallait donc qu'elle sorte de la douche pour la prendre. Ce qui comportait deux risques majeurs :

1/ Sortir et s'apercevoir que la porte des toilettes avait été refermée entre temps, ce qui pouvait bel et bien provoquer le moment gênant.
2/ Dans tous les cas elle allait se les geler.

Amandine sortit sa tête en premier pour voir si le lieu était sécurisé, puis reste du corps suivit rapidement, se précipitant dans sa serviette. Cette mésaventure terminée, la première sonnerie retentit dans tout l'internat. La précipitation gagna Amandine, qui enfila ses vêtements en vitesse, se sécha les cheveux et lissa sa mèche en quatrième vitesse. Puis elle remonta sur la mezzanine pour prendre ses affaires importantes, sa peluche et en passant en profita pour faire son lit. Ceci fait elle dévala les escaliers, prit son sac et mit son lapin dedans, puis mit ses chaussures rapidement. Un dernier regard dans la glace pour voir si tout était parfait et elle ouvrit la porte menant au hall. Elle sortit de l'internat, pensant fugitivement que "ses amis" ne l'avaient même pas attendu. En rentrant dans le lycée et en montant ses escaliers principaux, elle se demanda si elle devait évoquer sa vision avec eux. La question fut vite réglée.

UTILISÉ !!

Une fois sortis du self, les quatre lycéens prirent le couloir menant à la cafeteria. Le ventre pleins, ils ne voulaient que se reposer avant de reprendre les cours. Les couloirs étaient bondés, des amis retrouvant ceux de l'année dernière, les nouveaux demandant des renseignements et les prof' qui cherchaient leurs futurs salles. Lucas tripotait un étrange appareil plus ressemblant à un Iphone qu'autre chose tandis que les autres marchaient en silence.

Une fois à la cafétéria, mauvaise surprise... Toutes les tables étaient prises...Étienne se préparait à prendre l'autre direction avec Amandine quand Faye avança vers une table occupée par des cercles cinq ou six. Ils la regardèrent s'approcher, l'un jouant avec des cartes qui flottaient dans l'air et Faye dit d'un ton rapide et monocorde :
-"Bien le Bonjour chers amis, voyez vous, je me sens lasse de ma journée...Si peu commencée soit-elle et j'aimerais beaucoup que d'un point de vue sociales-compabilitonelle (...A ce mot, des personnes se retournèrent et la dévisagèrent.) ; vous me laissiez votre place avec la plus grande amabilité qui soit. Je le vois à travers vos pupilles flamboyantes que vous aimeriez tant me rendre ce charmant service !"

Les garçons se regardèrent, surpris...Puis se levèrent et quittèrent la Cafétéria. Lucas tapota l'épaule de Faye et Etienne lui glissa un :"Bien joué" et ils s'assirent. Etienne prenant le jeux de carte encore là et passant le temps en battant les cartes. Amandine proposa une partie de carte, rien que pour oublier son rêve...
-Tu sembles moins pâle; remarqua Faye.
-Oui,oui...Je m'en remet. Juste étrange...
-Je comprend.
Etienne demanda qui jouait et Faye rejoignit la partie.
-Vous pensez qu'on aura quoi comme cour ?
-Dépend de ton cercle et de ton pouvoir,nan ?
-J'espère un truc sur les dernières technologies ! S'exclama Luca.
Les autres rirent sauf Amandine qui sourit un peu quand même, c'est pendant qu'Etienne distribua qu'un jeune garçon en gilet s'approcha et demanda si il pouvait jouer avec eux :
-Tu n'es pas le nouveau, Arthur si je me souviens bien ?Demanda Etienne qui se souvenait d'une affiche avec la liste des nouveaux comme si elle était sous son nez.
-Si,si.Comment tu le sais ?
-Je me rappelle de l'affiche. J'ai une très bonne mémoire.
-Ah...On fait un président ?
Les autres acquieserent et ils jouèrent pendant une demi-heure.
-C4est vrai ce qu'on dit d'ici ?
-De ?
-Que des Lycéens ont des...Euh...pouvoir.
-Oui,oui. Comme Etienne et sa mémoire, moi et ma persuasion aussi...On en a tous, sauf quelques'uns.
-Comme moi.
-T'es nouveau aussi.
Remarqua Lucas sur son mini-ordi'. Ils parlèrent du beau temps et autre pendant encore quelques temps et la sonnerie résonna dans le bâtiment, ils laissèrent les cartes sur la table et quittèrent la Cafétéria.

UTILISÉ !!

Athéna a écrit:

Amandine restait figée, choquée par ce qu'elle venait de voir, n'en croyant pas ses yeux. Et cette scène... Il lui semblait que les étranges silhouettes dansaient encore devant ses yeux...

Cela lui trottait dans la tête sans qu'elle parvienne à l'effacer. La jeune fille enleva sa couverture tellement elle étouffait. Ses mains tremblaient et sa respiration était courte et rapide. Elle enfonça à plusieurs reprises sa tête dans son oreiller dans l'espoir d'oublier cette vision... En vain. Pour se calmer, elle prit de longues respirations. Essayant de se changer les idées au moins juste qu'au matin, Amandine prit son téléphone posé sur une table de nuit. Son portable lui servait de montre de réveil et de fuseaux horaires par la même occasion. Il était d'ailleurs inscrit "5h50" en lettre phosphorescente.
Elle soupira.

La jeune élève referma les yeux et fit se que n'importe qui aurait fait après un mauvais rêve : penser à autre chose. Quelque chose de plus gai, par exemple un rêve dont on espère ne jamais se réveiller. Un sourire se dessina alors sur son visage, provoqué par une pensé comique. Malheureusement, cela ne dura pas longtemps, en tout cas pas assez pour qu'elle puisse s'endormir.

Habituellement, quand on fait un cauchemar, tout s'arrête au réveil. On retrouve sa chambre, si familière. On finit par oublier après une petite période de stress, entre sommeil et réalité. Mais Amandine savait pertinemment qu'il ne s'agissait pas d'un simple cauchemar.
Elle était arrivée au LP2I il y a un an. Un an exactement, pratiquement jour pour jour.
Et, au fil des mois, ses nuits avaient peu à peu pris une tournure étrange. Certains scientifiques appellent cela, avec un air important, des "rêves prémonitoires".

Un bruit synthétique et continu se fit entendre. Ce bruit, elle le connaissait, il retentissait chaque matin, presque à la même heure., c'était les éboueurs. Elle ré-ouvrit ses yeux bleus et murmura quatre mots simplissimes :

- Je-vais-vous-TUER !

Puis dans un mouvement brusque sa tête se retrouva sous son oreiller, ce qui fit tomber son doudou, un petit lapin. C'était certes intriguant pour une fille de 16 ans, mais il l'aidait beaucoup à vaincre la solitude de l'internat. En effet, Amandine, contrairement aux autres, dormait seule. La chute du lapin en peluche la fit réagir tout de suite et elle le reprit dans ses bras, le serrant aussi fort qu'elle le pouvait formant comme un mur protecteur autour de ce petit être artificiel.

- Désolée ! Ça ne se reproduira plus je te le promet !

L'intervention héroïque des éboueurs et la chute de son doudou avait desserré l'emprise du cauchemar sur son esprit. Elle reprit en main son portable quelques instant après réinstallé la peluche dans son lit
. Cette fois-ci on pouvait lire "6h30". il lui restait vingt minutes pour ESSAYER de se reposer. Elle fit défiler son menu, et en même temps les fuseaux horaires des différents pays. Son regard s'arrêta sur "13h30". La jeune fille réagit gaiement en imaginant ce que faisait les habitants du pays évoluant sous ce fuseau. :

- Oh ! Les japonais doivent être en train de manger un truc délicieux !

Elle reposa son téléphone et croisa les bras tout en faisant attention de ne pas trop écraser son doudou bien-aimé compagnon. Sa tête était vide,vide de toute pensée. Il fallait attendre, c'était tout, puisque dorénavant "l'espoir dormir" était mort. Elle observa sa chambre dans sa pénombre. Etant en internat au LPII, son lycée, elle était plutôt spartiate et impersonnelle. Un lit, un bureau, rien d'accroché au mur. La lumière du jour naissant filtrait légèrement, illuminant les contours de ses doubles-rideaux.
Puis soudain une lumière et une mélodie retentirent à l'endroit de son portable. Sa main éteignit l'objet bruyant et elle articula difficilement.

- HEINNN ?! Déjà ?!

Nouveau soupir.
Elle sortit de son lit, traîna péniblement ses pieds jusqu'aux escaliers et les descendit dans le noir complet. Le craquement des marches la rendait encore plus nerveuse. Amandine prit ses vêtements préparés la veille et fila dans la salle de bain. Après avoir souffert quelques instant à cause de la lumière, elle ouvrit la porte des toilettes au maximum, formant ainsi une barrière entre sa chambre et celle des voisines. Ceci dans un seul but, ne pas faire de rencontre gênante avec en face. Elle disposait d'une chambre pour elle seule, autant en profiter pour éviter ce genre de... désagréments. Cela terminé, elle alluma la douche en faisant bien attention de ne pas être arrosée. L'eau mettait deux bonnes minutes avant d'atteindre une température potable. Après s'être déshabillée, elle entra dans la douche à peine tiède. Sous l'eau, son rêve refit surface, la plongeant dans une profonde perplexité:


Elle y réfléchit un moment mais fut coupée par l'eau qui cessa soudain de couler. Le bouton d'action s'était remit en place, lui coupant l'arrivé du liquide. Elle donna un coup de poing dedans pour l'actionner de nouveau.
Quand le nettoyage fut terminé, Amandine hasarda une main hors de la cabine pour trouver de quoi s’essuyer. Malheureusement, sa serviette n'avait pas bougé de son porte manteau. Il fallait donc qu'elle sorte de la douche pour la prendre. Ce qui comportait deux risques majeurs :

1/ Sortir et s'apercevoir que la porte des toilettes avait été refermée entre temps, ce qui pouvait bel et bien provoquer le moment gênant.
2/ Quoi qu'il arrive, elle allait avoir froid.

Elle sortit sa tête en premier pour voir si le lieu était sécurisé, puis reste du corps suivit rapidement, se précipitant dans sa serviette. Cette mésaventure quasi-quotidienne terminée, la première sonnerie retentit dans tout l'internat. La précipitation gagna Amandine, qui enfila ses vêtements en vitesse, se sécha les cheveux et lissa sa mèche le plus vite qu'elle pu. La pratique de l'année précédente lui avait donné une dextérité et une vitesse surprenante. Il n'était donc pas surprenant, alors qu'elle entrait dans sa seconde année au lycée du LPII, que ces gestes soient fait très rapidement. Amandine remonta sur la mezzanine pour prendre ses affaires importantes et pour faire son lit. Ceci fait elle dévala les escaliers, prit son sac et mit son lapin dedans, puis enfila ses chaussures rapidement. Un dernier regard dans la glace pour voir si tout était parfait et elle ouvrit la porte menant au hall. Elle sortit de l'internat, pensant fugitivement que "ses amis" ne l'avaient même pas attendu. En rentrant dans le lycée et en montant ses escaliers principaux, elle se demanda si elle devait évoquer sa vision avec eux. La question fut vite réglée.

Voilà, j'ajoute la seconde correction. Au passage, je le dis parce qu'il est 22:04 et que j'ai pas le temps, il faudra décrire Amandine. Je penche pour le moment à la fin ou elle se regarde dans la glace. Si quelqu'un à le temps d'ajouter la description (sans forcement citer tout le texte) ça serait bien. Sinon je le ferais plus tard.