Les plumes noires
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Les plumes noires

Forum de la session 2012/2013 de l'ACF des Plumes noires
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à -50% (large sélection)
Voir le deal

 

 textes du 22 novembre

Aller en bas 
4 participants
AuteurMessage
Kim
Hunger Games
Hunger Games
Kim


Messages : 162
Date d'inscription : 03/09/2012
Age : 27
Localisation : DANS TON CARTABLE !!!

textes du 22 novembre  Empty
MessageSujet: textes du 22 novembre    textes du 22 novembre  EmptyJeu 22 Nov - 14:52

à poster ici !!
Revenir en haut Aller en bas
Kim
Hunger Games
Hunger Games
Kim


Messages : 162
Date d'inscription : 03/09/2012
Age : 27
Localisation : DANS TON CARTABLE !!!

textes du 22 novembre  Empty
MessageSujet: Re: textes du 22 novembre    textes du 22 novembre  EmptyJeu 22 Nov - 15:13

Partie de Corentin (début du concert jusque a la négociation)

Ca y'était elle avait enfin pue rentrée dans cette satanée salle de concert ou il y'avait tellement de bruit qu'elle se félicita d'avoir penser à ses boules quies elle allait surement en avoir besoin et puis de toute façon le métal c'était vraiment son truc alors il ne fallait pas qu'elle se déconcentre de son objectif:Première chanson
-ahhhhhhhhh mon groupe préféré!!!!
Elle fut tirée de sa rêverie par un gigantesque pogo qui démarrait dans cette grande salle elle manqua tomber mais réussie a monter sur la scène pour prendre une photo, les chansons passèrent et elle se dit que finalement les terroristes ne viendrait pas négocier. Elle décida d'aller au toilette ou elle fut emmener par deux hommes en noir qui vinrent la chercher pour la négociation.
Revenir en haut Aller en bas
Mawineuh




Messages : 83
Date d'inscription : 10/09/2012
Age : 26
Localisation : Neeeeige !

textes du 22 novembre  Empty
MessageSujet: Re: textes du 22 novembre    textes du 22 novembre  EmptyJeu 22 Nov - 16:06

Partie discussion élèves+rapport Faye Kalian

Depuis le retour de Faye et de Kalian, les discussions allaient de bon train. Chacun avait sa théorie sur cette affaire. Il n'était pas rare de tomber, particulièrement dans l'arc ou à la cafétéria, sur une discussion de ce genre:
« Tu penses qu'elles faisaient quoi, toi, Faye et Kalian?
-D'après ce que j'ai entendu, elles auraient été envoyées dans une mission de négociation qui aurait mal tourné.
-Avec Faye, je me demande comment ça aurait put mal tourner.
-C'est vrai, c'est vraiment bizarre cette histoire.
-Peut-être que les autres avaient des pouvoirs, eux aussi et qu'ils ne se sont pas laissé avoir?
-Ou alors, ils n'avaient pas de cerveau. Difficile de raisonner quelqu'un qui ne peut pas réfléchir...
-A moins que l'autre partie était composée de robots? Je ne pense pas que le pouvoir de Faye soit très efficace sur des machines.
-Et Kalian? C'est quoi son pouvoir?
-Heu...Bonne question. Elle a peut-être un pouvoir comme celui de Faye. Après tout, elle a été affectée à une mission de négociation donc...
-Oui mais, en général, il y a un négociateur et une personne plus qualifiée dans le combat au cas où les choses tournent mal. Donc elle doit avoir un pouvoir qui lui donne de bonnes capacités de combat.
-C'est une possibilité. ... Et par rapport à la mission, tu penses vraiment qu'elle a foiré?
-Je ne sais pas, les négociations se sont peut-être prolongées ?
-Pendant deux jours !? Pas possible!
-Ou alors elles se sont fait enlever par des extraterrestres !, s'incrusta un des voisins de nos deux protagonistes.
-Á moins qu'elles aient décidé de se prendre des petites vacances...ajouta un autre.
-Pff, n'importe quoi ! Ce n'est pas leur genre...Enfin, Kalian, je sais pas mais Faye non. Sauf si elles ont croisé un groupe de pingouin.
-Ou alors, leurs ennemis étaient des pingouins ! Des pingouins robots avec des pouvoirs !
-Et Faye aurait perdu tous ses moyens face à eux ! Il faut dire que les pingouins, c'est diaboliquement adorable comme créature.
-Ou alors, elles ont croisé une bande de groupies en furie...
-Mais non ! Je vous parie que c'était des extraterrestres ! »
Le problème avec la cafétéria ou l'arc, c'est que tout le monde peut entendre les conversation des autres. Et comme beaucoup de discussions sérieuses, elles dérivent souvent.

Pendant ce temps là, les deux principales intéressées de l'histoire ne se préoccupaient pas de l'intérêt qu'elles suscitaient au sein du lycée. Elles étaient bien trop préoccupées par le rapport qu'elles devaient présenter à leurs professeurs.
L'entretien se déroulait sans trop d'anicroches quand soudain, la question tant redoutée fut posée :
« Bien. Mesdemoiselles, expliquez moi pourquoi cet incident c'est produit. »
A l'entente de cet évènement, Faye pâlit et Kalian se tritura nerveusement les mains. Le souvenir de cet incident était encore très traumatisant et stressant pour les deux lycéennes.
Kalian soupira, elle savait depuis le début qu'elle devrait en parler à un moment ou un autre. Pourtant c'était toujours aussi dur d'en parler. Et elle savait qu'il en était de même pour Faye.
D'ailleurs, Kalian se sentait plus à l'aise avec sa coéquipière occasionnelle depuis cette mission. En effet, l'incident, bien que dramatique, les avait sensiblement rapprochées. Kalian inspira un bon coup, il fallait bien que quelqu'un réponde à la question et Faye semblait trop perdue dans ses propres souvenirs pour le faire.
Kalian se lança :
« Et bien... »
Revenir en haut Aller en bas
http://voyages-de-larcadia.forumactif.fr/
Kim
Hunger Games
Hunger Games
Kim


Messages : 162
Date d'inscription : 03/09/2012
Age : 27
Localisation : DANS TON CARTABLE !!!

textes du 22 novembre  Empty
MessageSujet: Re: textes du 22 novembre    textes du 22 novembre  EmptyJeu 22 Nov - 16:11

texte de François questionnement : que sont devenues les filles parties en mission ? -complétée par Kalian-

Lucas venait d'ouvrir la porte de la salle commune. D'un air inquiet, il demanda désespérément des nouvelles des filles. Mais les réponses étaient encore et toujours négatives. Voilà deux jours que Faye aurait du rentrer de mission. Mais toujours pas de signe de vie. Aucune nouvelles. L'atmosphère était pesante, ces informations étaient essentiel pour l'État, primordiale pour la survie des élèves. Et le lycée avait la pression. Sans ces données l'établissement serait endetté pendant plus d'un an. Plus le temps s'écoulait et plus la tension emplissait la pièce, le doute aussi et les suppositions envahissait les esprits Le groupe s'agitait, les renseignements auraient déjà du être confiés à la Nation depuis deux jours maintenant. De plus aucun autre élèves apprentis n'étaient apte à cette mission. Sans les facultés de Faye, le disque n'aurait pas pu être subtiliser. L'établissement avait tout misé sur eux. La seule brèche était pendant le concert. Or il était fini, les négociateurs avaient bouclé leurs transactions, depuis maintenant deux jours. Et une tel occasion ne se remontrera plus. Le plan était trop bien calculé pour « capoter ». Dans quoi c'était embarqué les élèves ? Qu'étaient-elles devenue ?

Eh oui, dans de tels situations les élèves avaient toujours appris à penser au pire, pour ne pas regretter, pour ne pas être surpris, ou à tombé des nus.
C'est dans cette ambiance que Lucas intervint. Se dirigeant vers son groupe d'amis, il leur demanda d'un ton inquiet.
- Toujours pas de nouvelle ?
Le groupe entier secoua négativement la tête. Leur préoccupation commune n'avait rien en rapport avec les intérêts de l’État. Faye était leur amie et le groupe semblait incomplet sans elle. Ses tirades insensé manquait à l'appel et personne ne parvenait à faire comme si de rien était. Plus maintenant. Romane, qui était venu avec Ambre rejoindre le petit groupe, tenta alors timidement.
- Et toi de ton côté ?
- Rien, ils restent muet comme des tombes.
- Ah ne dit pas ça ! S'exclama Amandine. Tu vas nous porter la poisse...
- La prochaine fois j'irais. Décréta Étienne. A cause de mon pouvoir je me coltine des cours d'analyse des réactions du corps et du visage. Faut bien que ça serve un jour !
Un silence lui répondit puis Eileen déclara, joyeuse.
- Elles vont bien de toute façon !

La berline noire s'arrêta devant le lycée. Couverte de boue, un impact de balle sur le pare-brise, elle semblait avoir traversé bien des épreuves. Mais elle roulait encore. Derrière elle une autre berline, grise métallisée, en bien meilleur état. Les occupants de cette dernière furent les premiers à sortir. Deux hommes, habillés parfaitement normalement s'approchèrent alors de la berline et ouvrir la porte du côté conducteur. Faye en sortie. Tremblante, son "uniforme" rose était légèrement déchiré et couvert de taches. De terre, mais aussi de sang. Elle refusa leur aide pour marcher et se dirigea vers le lycée. Vers sa maison.

Ambre l'ignora en partie, se contenta de lui lancer un regard curieux avant de demander à Étienne.
- Au fait, y'avais pas cette autre fille avec toi dans ce cours ?
- Kalian ? Ouai...
- T'as pas l'air de grave l'apprécier... Remarqua Lucas.
- Ha nan, c'est juste que je la connais pas des masses. Sinon elle a rien de méchant, je lui ai un peu parlé, elle est un bizarre mais ça va. Y'a pire... Raconta t'il en fixant son regard sur Eileen à la fin de sa phrase.
- C'est quoi son pouvoir ? Demanda Marianne.
- Moi je sais ! Lança Corentin. C'est une sniper ! Elle est aux entrainement de combat avec moi. C'est une deuxième année donc elle se débrouille bien mais elle n'est évidement pas aussi douée que moi. En plus, elle à prit ce cours en option, comme Faye, pour pouvoir se défendre en cas de besoin.
- Ba en même temps c'est une sniper, elle n'est pas sensé faire du corps à corps. Déclara Lucas
- J'espère qu'elle va faire son boulot correctement... Soupira Ambre
Par la suite plus personne ne parla et l'ambiance redevint aussi tendu, presque palpable. Kalian avait la vie de Faye entre les mains et Faye était leur amie. C'était pour une raison autrement plus importante que les enjeux politiques aux yeux de la bande d'adolescents.

Un pas, puis un autre. Un pas, puis un autre. Faye ne voyait pas vraiment ce qu'il avait devant elle. La tête trop pleine, l’adrénaline trop forte, les yeux trop vides. La jeune femme s'effondra. Presque.
Une dernière chose la retins avant qu'elle ne s'étale sur le sol avec une grâce toute gastéropodesque. Sa coéquipière. En fait, elle n'empêcha pas vraiment la chute, sortie de la voiture juste après elle, elle s'était précipitée pour la rattrapée. Le résultat fut une chute des plus ridicules sur l'asphalte du parking. Néanmoins, l'effet fut immédiat. Les deux jeunes filles éclatèrent de rire avant de se relever l'une l'autre.

- Nous sommes dans un état d’existence a fortiori proche d'une unité tridimensionnel exponentiel en plus l'infinie...
- On est vivante ouai...

- Bon je vais y aller, il est temps de mettre mes cours en pratique ! Déclara théâtralement Étienne en ce levant.
Il se dirigea à pas rapide et ouvrit la porte, ou tout du moins se prépara à le faire. La poignée tourna dans sa main et il recula, surprit. Le battant de bois révéla Faye, soutenue pas Kalian. Exténuées, les yeux dans le vague. Elle leva la main et déclara faiblement.
- Lut... On a réussi à négocier pour vous voir avant de faire notre rapport...
- Elle a négocié... Précisa Kalian.
Deux secondes plus tard, les deux LPIIène, déjà franchement agonisante, se retrouvèrent comprimés dans une étreinte collective. L’acolyte de Faye du hurler pour qu'elles puissent retrouver leur souffle. Cependant, repousser les ardeurs du groupe ne suffit pas à leur garantir la paix. Elles furent assaillies d'une tornade de question plus loufoques les unes que les autres, d'autres élèves se joignant spontanément à la discutions.
- Qu'est ce qui vous est arrivé ?
- Vous vous êtes battues ?
- Y'avait des pingouins ?
- Y'avait des robots ?
- Y'avait des robots pingouins ?
- Y'avait des robots pingouin avec des turbo-poings ?
- Pouet.
Tout le monde se retourna vers Étienne et il haussa les épaules.
- Non rien.
Les questions allaient reprendre mais Kalian et Faye n'était plus là et la porte était fermée. De l'autre côté, la jeune fille brune la bloquait avec son épaule. Elle soupira, le souffle court.
- Je veux... retourner... avec nos anciens ennemis...
- Bienvenue chez mes amis !
- Gn... Ouai... D'accords...
Elle lui lança un regard parfaitement sérieux et déclara d'un coup.
- Commence à courir, je lâche la porte et on sprint vers les bureau. On a une chance de s'en sortir.
Faye hocha la tête avec vigueur.
Revenir en haut Aller en bas
Lo(u)ve




Messages : 105
Date d'inscription : 04/09/2012

textes du 22 novembre  Empty
MessageSujet: Re: textes du 22 novembre    textes du 22 novembre  EmptyJeu 22 Nov - 19:54

Texte Manel, mort de Thomas



- Comment ça vous n’êtes pas partie ? Il faisait quoi Thomas ?
Faye avala sa salive et baissa les yeux alors que sa voisine croisait les bras et se redressa. Elle dit avec difficulté, comme si elle ne parvenait pas à desserrer les dents.
- Mort
Un grand silence tomba sur la cafétéria. Petit à petit, l’ensemble des personnes présentes dans la pièce, même ne connaissant pas les deux jeunes filles, avaient tendu l’oreille à leur récit. Eileen, après quelques secondes sans réaction tenta, avec un petit sourire, de réchauffer l’ambiance.
- Mais au moins j’aurais un nouveau copain !
Kalian lui lança un regard inquiet, presque choqué. Contrairement aux autres, elle n’avait pas l’habitude des étranges agissements de la jeune fille.
Comprenant que Kalian était certainement celle dont les nerfs étaient les plus solides, Lucas l’encouragea à raconter. Une mort au cours d’une mission, même dangereuse était quelque chose d’extrêmement rare au LPII. La jeune sniper posa ses coudes sur la table et appuya sa tête dans ses mains. Fixant obstinément le bois peint, elle commença à raconter.

Kalian piqua un sprint, se rapprocha rapidement de la voiture ou l’attendait. Mais quelque chose n’allait pas. Elle n’avait rien vu pourtant ce sale pressentiment lui broyait le ventre. Quelque chose n’allait pas, oui vraiment pas. Pourquoi les ennemis était sortie de toute part ? La jeune fille avait l’habitude d’être envoyée en mission en extra, en général son fusil servait juste de sujet de conversation sur les trajets. A aucun moment on ne l’avait prévenue, elle ou Faye qu’elles risquaient une attaque aussi massive. Kalian n’avait rien d’une psychopathe, tué des gens était difficile et aucun entrainement, aussi poussé soit-il ne pouvait permettre à quelqu’un d’abattre une dizaine de personne.
Elle avait un mental solide, elle pouvait abattre une personne et ne pas devenir folle. Mais cette nuit là, elle avait du faire bien plus. Trop.
La voiture noire apparue bientôt. En fait, elle était visible depuis plus longtemps tout semblait noir. Le ciel, le sol, la voiture. Tout était noir, tout était danger. Il fallait partir vite, maintenant même et le plus loin possible.
Mais il y avait un problème.
Faye était là aussi mais elle était blanche et elle n’était pas dans la voiture. Elle devait être dans la voiture, la voiture devait être démarrée. Le rugissement du moteur devait être la dernière chose qu’entendraient leurs poursuivants avant de les voir disparaitre. Mais la voiture était silencieuse. La voiture était silencieuse, Faye était en dehors et lorsqu’elle cria son nom, Thomas ne répondit pas.
Elle poussa un juron et accéléra encore et du presque heurter la jeune fille en tailleur pour s’arrêter. Cette dernière était dans un état de choc total et Kalian sentit qu’elle ne mettrait pas longtemps à finir dans le même état.
- Kal’ ! C’est… Il… Il bouge plus ! Il bouge plus du tout !
Elle attrapa fermement ses épaules et la sniper constata que la lumière faisait d’étrange taches sombres sur ses mains.
- J’ai essayé de le réveiller et il bouge plus ! Il ne bouge plus ! Il… Il ne… bouge plus…
Sa respiration commença à lui manquer et elle s’adossa à la voiture en répétant les mêmes mots, sans parvenir à s’arrêter. Sa comparse respira un bon coup, il ne fallait pas qu’elle perde les pédales, au moins pour quelques minutes. Posant la main sur la poignée, elle souffla encore quelques secondes et inspira avant de couper sa respiration et d’ouvrir brusquement la porte. Le diagnostic ne mit que quelques secondes à tomber. Penché en avant, la tête appuyée sur le volant. Un sens de l’humour macabre lui fit remarquer qu’à quelques centimètres, il déclenchait le klaxon et les faisait repérer encore plus. Un haut le cœur la ramena à la réalité, Thomas était mort, une balle dans la tête.
Une balle de sniper dans la tête.
Il était facile de comprendre pour la jeune femme de comprendre ça. A force de manier des armes de précision, voir la tête du jeune homme encore intact était un signe majeur de l’utilisation de ce genre d’arme. En fait mis à par les points noirs écarlates dans sa barbe bleue, on aurait put croire qu’il s’était endormit sur son volant. Constatant ça, le cœur de Kalian loupa un battement. L’avait elle tué par inadvertance ? Non, à aucun moment la voiture n’était entrée dans son champs de titre.
- Il ne bouge…Plus…
Ce fut la goutte d’eau en trop, la sniper recula de quelques pas et tomba à quatre pattes, vomissant dans un haut le cœur insupportable. Un homme était mort, là, juste devant elle. Thomas Prigeant était mort d’une balle dans la tête.

- Il avait encore sa barbe bleue ? Il ne s’était pas rasé avant de mourir ?!
Kalian sursauta presque en entendant Eileen. Ses yeux se durcir d’un seul coup et elle martela sa phrase d’un ton accusateur.
- Tu crois que c’est vraiment important ? Il est mort !
- Mais il va me faire peur s’il a sa barbe…
Les dents de la sniper se serrèrent et Etienne lui demanda de continuer avant qu’elle ne lui saute dessus. Elle s’affala un peu plus sur sa chaise et respira profondément. Faye avait mit sa tête entre ses bras pour ne plus entendre.

Lorsqu’elle se releva, la jeune fille prit les épaules de Faye et planta ses yeux dans les siens. Juste pour ne pas céder à la panique. Juste pour ne pas finir comme Thomas.
Il fallait agir vite et il fallait agir bien.
- Ecoute ! On ne peut pas rester ici ! On doit partir ! Maintenant !
- Il… Bouge…
- ÉCOUTE-MOI !
La sniper, habitué à se faire discrète n’avait pas put se retenir de hurler. Ni de gifler violement sa partenaire. Quelque part, c’était aussi pour évacuer sa peur. Elles avaient peur. Le regard de Faye devint un peu plus présent même si elle ne semblait pas consciente de la douleur.
- On doit se tirer tout de suite ! Sinon on va crever !
- Oui… Oui ok…
- On va mettre Thomas derrière et ensuite on se tire !
- Ok… Ok...
Prenant leur courage à de main, elles ouvrirent la porte et tirèrent Thomas hors du véhicule. Kalian pensa un instant à l’abandonner oublia bien vite ses paroles. Il devait les tirer de ce pétrin, l’abandonner aux mains de ses assassins était la dernière des horreurs.
Chargeant le conducteur sur la banquette arrière, elle envoya Faye s’assoir à la place du mort.
En quelques secondes, elle fut installée au volant et posa ses mains sur le volant ensanglanté. Faye s’inquiétat subitement.
- Mais tu sais conduire ?
- Oui !
- Mais tu as appris où ?
Kalian répondit la première chose qui lui passa par la tête.
- Dans GTA 4 !
Elle écrasa l’accélérateur et la berline bondit en avant.

- Tu as appris à jouer dans GTA 4 ? Demanda Corentin.
Kalian soupira profondément avant de lui dire avec le plus grand sérieux.
- Non, dans Mario Quart ;

- On va où ?
Kalian conduisait depuis presque deux heures, errant au hasard, cherchant juste à mettre un maximum de distance. Le fait que la voiture ai une boite de vitesse automatique était particulièrement utile, la jeune femme n’était que moyennement au point avec les vitesses. Elle lui répondit la voix tremblante.
- Je sais pas.
- On va faire quoi ?
- Je sais pas !
Elle avait crié les derniers mots. Regarder en arrière était une option qu’elle n’avait pas suivit depuis le début. Derrière, il pouvait y avoir des poursuivant. Derrière il y avait Thomas.
Elle voulait juste se tirer.
Faye continua de lui poser des questions obtenant toujours les mêmes réponses. Au bout d’un moment, elle finit, par lui poser des questions absurdes avant de lui dire d’un ton autoritaire.
- Arrête-toi.
- T’es folle ? On va se faire tuer !
- Kalian ! Y’a plus personne qui nous suit !
- Je m’en fou ! On doit continuer.
Mais la négociatrice ne l’entendit pas de cette oreille. Elle attrapa le frein à main et l’actionna avec force. Kalian panique quelques secondes avant de réussir à rétablir la voiture avant qu’elle ne se plante dans un arbre ou autre chose qui pouvait potentiellement détruire la voiture. Une fois la voiture arrêtée, Kalian coupa le contact, stoppant moteur et enfouit son visage dans ses bras.
Elle jura plusieurs fois de suite avant de crier le même mot et d’éclater en sanglot. Faye lui massa le dos, sa coéquipière était au bout du rouleau.
- C’est bon. Je vais conduire.
Kalian se releva et s’écria.
- Non ! Je vais…
Une gifle retentissante interrompit sa phrase.
- Je CONDUIS !
La LPIIène soupira d’une voix tremblante.
- Ok...
- Mais d’abord Thomas.
- Tu vas le laisser ?!
- Non, mais on ne peut pas le garder dans la voiture si on veut survivre.
- Mais on ne peut pas…
- Tu as vus dans quel état ça te met ?! Si tu veux qu’on survive, calme toi et aide moi.
La laissant là, elle sortit de la voiture et ouvrit la porte passager. Kalian se contenta de la regarder avant que Faye ne lui lance.
- Tu viens où tu danses la macarena ?!
- Hein ?
- Rien ! Bouge !
La jeune fille obéit sans répliquer et alla aider la négociatrice. Thomas fut sorti et allongé sur le sol. Décrétant qu’on ne pouvait pas l’abandonner ici, Kailan poussa jusque dans les sous bois, assez lois de la route. Une fois qu’elle jugea que c’était suffisant et surtout que ses bras ne tenaient plus, elle s’accorda avec Faye pour la poser doucement au sol. Faye plaça ses mains sur sa poitrine et Kalian retira sa veste, la posant sur le visage du défunt.
- A notre retour, on dira à l’administration où tu es. On viendra te chercher.
- Mais tu sais où on est ?
- Non mais je me souviendrais du chemin à partir d’ici.
- Attends.
Faye sorti son portable mais Kalian lui attrapa le poignet.
- On pourrait te retrouver avec ton portable.
- Je l’allume juste pour prendre les coordonné GPS. Tu dois dormir. Tu te souviendras jamais de chemin. T’inquiète pas, ils le ramèneront.
- Hm…
Elles remontèrent vers la voiture et Faye monta directement sur le siège conducteur. Elle mit quelques instants à prendre le contrôle du véhicule mais fini par le maitriser. Elle accéléra progressivement sur la route de campagne. C’est en faisant ceci qu’elle comprit à quel point sa camarade était désespérée. Foncer de nuit sur une route de campagne, une bonne cinquantaine de kilomètre au dessus de la limitation, ce n’était pas de la fuite. C’était du suicide.
Ses yeux se posèrent sur elle, même si elle tremblait légèrement et que sa mâchoire semblait sur le point de rompre, ses yeux était ailleurs et on aurait put la croire calme. Faye tenta une approche afin de la détendre. Il fallait qu’elle parle pour se calmer. Il fallait qu’elles parlent pour se calmer.
- Tu as une idée de ce qui l’a tué ?
Kalian se contenta de pointer le trou auréolé de fissure qui ornait le pare-brise. Evidement, elles avaient toutes deux vus la cause de la mort, mais il fallait parler pour ne pas sombrer. Alors elles parlèrent. Puis Kalian fini par dire quelque chose de plus sensé que le reste.
- Mais tu vois, je comprends pas pourquoi il est mort…
- Balle dans la tête peut-être ?
- Nan, ça j’ai compris.
- Alors ?
- Ba… C’est un conducteur professionnel, il pouvait s’échapper en quelques secondes…
- Et alors ? Il ne pouvait pas éviter les balles…
- Oui je sais. Mais tu vois, vus la trajectoire, il aurait du.
Faye fronça les sourcils. La jeune fille recroquevillée à la place du mort était tout de même bien plus callé qu’elle en arme à feu. Elle ne voulait tout de même pas dire qu’il existait des trajectoires rendant les balles humainement évitables ?
- Je t’explique. Le seul poste de tir valable pour toucher la voiture, c’était un toit en face bien visible. Je le sais parce que j’ai aidé à choisir l’emplacement de la voiture. Un sniper qui se met en place, c’est rapide certes mais de là où il était, il aurait du le voir et il aurait put partir.
- Tu veux dire que…
- Je veux rien dire. Je trouve juste ça bizarre.
Faye poussa un grognement et se concentra sur la route. Kalian commençais à devenir paranoïaque. Pourquoi le sniper aurait il tué Thomas et pas elle ou même Kalian ?

Kalian soupira et arrêta de raconter. Faye, ayant reprit constance fini de clore le récit.
- Après on s’est relayées au volant jusqu’à ce qu’on arrive à une ville avec une cabine téléphonique, on a appelé le lycée et nous voilà.
- Mais vous avez roulé combien de temps ?
- Je sais pas. Murmura Kalian.
Faye eu un rire amer et Eileen déclara d’un ton joyeux.
- Hey ! Thomas est revenu !
Aucune des deux survivantes ne réagit. Personne ne réagit. Thomas ne pouvait pas revenir.
Revenir en haut Aller en bas
Dolphin Emulator

Dolphin Emulator


Messages : 125
Date d'inscription : 04/09/2012
Age : 26
Localisation : Devant l'écran

textes du 22 novembre  Empty
MessageSujet: Re: textes du 22 novembre    textes du 22 novembre  EmptyMer 5 Déc - 16:10

Voili voilou, désolé de poster juste avant la nouvelle séance ACF le texte que j'ai entamé la semaine dernière, mais je suis un cancre qui fait tout à la dernière minute ^^ Bref, voici les négociations de Faye au concert de Métal.



- Donc en fait, si on a dû se faire un sang d'encre à votre sujet pendant 2 jours entiers, c'est simplement parce que vous preniez du bon temps à un concert de métal, et que vous n'avez absolument pas jugé nécessaire de nous avertir que cela durerait un peu plus longtemps que prévu, afin de ne pas nous inquiéter. C'est bien ça ?

Cette réplique aussi longue que remplie de reproches venait d'être prononcée par Ambre. La personne qui lui faisait face, à savoir Faye, eu pour réaction d'affaisser ses épaules, tout en lâchant un soupir.

- Tu penses sérieusement qu'on vous aurais laissé sans nouvelle en sachant très bien que vous inquiéteriez s'il n'y avait pas eu quelque chose qui nous en avait empêché ?

Faye n'obtint aucune réponse. Après avoir fait une pause, elle reprit la parole.

- Je ne sais pas si c'est possible d'avoir autant d'emmerdes en deux jours. Enfin bref. Déjà, la raison de notre sortie n'était pas un simple concert de métal - même si j'avoue avoir adoré la partie que j'ai pu en entendre. On nous avait envoyé là-bas pour une affaire autrement plus importante, à savoir une demande de rançon à l'État pour des informations extrêmement confidentielles, dont moi-même n'ai pas connaissance – mais je suspecte un rapport avec les pingouins. Ce que j'en sais, c'est qu'un groupe de mafieux à réussi à voler des informations strictement confidentielles à certains membres du pays, et qu'eux-même se sont fait voler l'unique exemplaire qu'ils avaient de ces données par un autre groupe de malfaiteurs, lequel a décidé de demander une rançon à l'État en échange de ces données.

- Comment un groupe qui est capable d'extorquer des informations confidentielles à l'État peut ne pas penser à la chose la plus élémentaire qu'est celle de faire une copie des données ? intervint Lucas.

- Je suppose que c'était des hommes et qu'il ne sont par conséquent pas capables de voler des données et de penser à en faire une copie en même temps.

- Je peux le faire.

- Oui, mais toi, ça compte pas.

Faye reprit sa respiration, et après s'être assurée que tout le monde écoutait, commença le récit de leur périple, à elle et Kalian.

Faye était en plein milieu d'une foule déchaînée de métalleux, venus écouter le concert qui avait lieu ce soir. Malgré les turbulences, l'odeur de bière et les cris de ceux qui l'entouraient, elle profitait pleinement du morceau joué par Klone, un groupe qu'elle ne connaissait pas avant de venir ici, mais qui s'avérait être un excellent groupe. Alors qu'elle tentait de surpasser les performances vocales de ses voisins, un détail parmi la foule attira son attention. Le signal ! À son grand regret, elle allait devoir laisser le reste du concert lui filer sous le nez. Car elle ne devait pas oublier le but premier de sa venue : négocier la récupération d'informations strictement confidentielles avec un groupe de malfaiteurs. Elle se faufila donc parmi la foule (le « pogo », comme elle aurait dit) vers un coin de la salle, où elle avait vu le signal. Là-bas, elle fut reçue par un homme de stature moyenne, en costume et portant un chapeau bleu fluo, qui s'illuminait par moments (un signal parfaitement discret et efficace dans une telle foule).
Celui-ci l'invita à le suivre. Ils quittèrent la salle, montèrent un grand escalier, et se retrouvèrent finalement dans un pièce au-dessus de la salle de concert. Lorsqu'ils arrivèrent, la première chose que fit Faye fut de vérifier par les grandes baies vitrées qui servaient de mur à la salle (et donnaient sur le concert) si elle pouvait voir la position de sa partenaire de mission, Kalian (on lui avait indiqué sur un plan où la jeune fille serait positionnée). Ne voyant pas Kalian mais apercevant sa cachette, elle jugea que sa protection était assurée. Elle allait pouvoir entamer les négociations sereinement.
Elle porta donc enfin son attention sur les personnes qui occupaient la salle. Juste devant elle se tenait une femme, mince, séduisante, un véritable mannequin. Derrière elle, dos au mur, se trouvaient deux gardes du corps, géants, musclés, si impressionnants qu'ils avaient l'air tout droit tirés d'un film. La jeune femme se tenait assise à une table, à laquelle une chaise restait libre. Faye s'assit donc en face de ce qui serait, selon toute évidence, son adversaire du soir. Immédiatement, elle repensa à la stratégie qu'elle avait longuement élaboré avant de venir : face à des adversaires d'une telle trempe, il fallait marquer les esprits, prendre l'ascendant psychologique dès le début. Aussi n'attendit-elle pas pour entamer les négociations :

- Alors, voyons ensemble cette assemblage tétraédrique de particules supersymétriques proportionnellement stœchiométriques agréées d'arachnophobie pestilentiellement exponentielle et relativement ésotérique, qui après tout n'est rien de pire qu'une hyperbole d'hyppopotomonstrosesquipédaliophobie protoplasmiquement létale, voulez-vous ?

Etienne intervint :

- ça, même pour toi, c'est du grand art !
- J'avoue être assez fière de cette accroche.

Cette attaque verbale parfaitement articulée fit mouche. Du moins, chez les gardes du corps: à les voir, Faye était certaine de ne pas se tromper en affirmant que leurs cerveaux avaient implosé. Quant à l'homme au chapeau bleu, qui était toujours derrière la jeune fille, un rapide coup d’œil suffit pour voir qu'il n'allait pas beaucoup mieux. Cependant, la véritable cible de cette attaque, bien que très fortement déstabilisée, semblait encore plus ou moins en état de poursuivre les négociations.

- Oui … bien sûr … voyons pour ces fameuses informations. Fit-elle, un peu hésitante

Elle s'arrêta un instant pour reprendre son souffle et une partie de ses esprits. Faye n'essaya pas de l'en empêcher, jugeant que son coup précédent laisserait bien assez de marque, et aussi que faire griller trop rapidement le cerveau de son adversaire entraînerait plus de difficultés que simplement le faire cuire à petit feu. À peu près rétablie, la jeune femme reprit la parole.

- Je résume la situation : nous avons en notre possession des informations d'une importance capitale pour votre État. Celui-ci vous a embauché afin de négocier avec nous un prix pour récupérer ces informations. Sachez qu'il est inutile de tenter de les récupérer par le force, l'endroit est complètement occupé par nos équipes. Nous vous proposons donc un prix : cinquante millions d'euros. Pour de telles informations, cela me semble raisonnable.

Faye haussa un sourcil. Cinquante millions ? Ces informations devaient vraiment être d'une importance extrême. Ça n'allait pas être évident de négocier jusqu'à un prix zéro, comme lui avait été annoncé l'objectif idéal, même avec ces pouvoirs. Elle allait devoir jouer ça tout en finesse.

- Comment ? Quarante millions ? Dites-moi ma chère, ne trouvez-vous pas cela exponentiellement sur-évalué ? Ne trouveriez-vous pas pingouinifique que nous ré-estimions ensemble la véritable valeur ajoutée de ce produit, faisant fi du potentiel du marché, et en supprimant les taxes d'anamorphose ?
- Non … Ceci nous est impossible. Nous ne descendrons pas d'un centime. Ces informations valent très largement les quarante millions que nous demandons.

Faye sourit. Et hop, déjà dix millions en moins, sans même que son opposante ne s'en rende compte ! Elle était en bonne voie.

- Allons ! Je sais que c'est la crise du cervelas Orloff, que nous devons tous payer les taxes des transferts sub-sidéraux, mais un prix exagéré reste un prix troglodyte. Que diriez-vous d'aller danser la macarena ?

La jeune femme hésita. Elle était complètement déstabilisée par la fille qui lui faisait face. De tout les adversaires qu'elle avait pu croiser lors de différentes séances de négociations, Cette fille était la première à la mettre si mal à l'aise, et elle n’arrivait pas à comprendre comment elle fonctionnait.

- T … Trente millions.
- Ah ! Vous voilà plus raisonnable ! Vous voyez que savez faire des efforts ! Mais ça n'est pas suffisamment cytoplasmique. Vous pouvez bien encore me faire grâce de la photosynthèse, non ? Et je vous présenterais barbe bleu !
- V … Vingt-cinq …

C'était gagné. Faye avait réussi. La secrétaire était en train de craquer psychologiquement. Mais c'est ce moment que choisi un homme pour entrer. Il s'approcha de la femme en détresse, et lui murmura quelques mots à l'oreille. Après un bref échange, la femme sorti un objet de sa poche, objet qui produit un éclat miroitant.
Une coup de feu retenti, laissant un impact de balle à vingt centimètres du pied de Faye. Le signal. Conformément aux instructions qu'elle avait reçu, il fallait maintenant qu'elle récupère le CD qui venait de sortir de la poche de la négociatrice. Elle se leva, et se mit à sprinter en direction de son objectif, tandis que l'homme nouvellement entré tombait, une balle dans la tête. Personne ne tenta de la retenir, car tous étaient encore sous le choc de la négociation. Elle s'empara du CD, et abandonna ses chaussures. Elle allait devoir courir pieds nus, mais c'était toujours mieux que de risquer sa vie en gardant ses talons. Alors qu'elle redescendait dans la salle de concert, plusieurs hommes, restés à l'abri des propos de Faye, se mirent à sa poursuite. Ils étaient nombreux, mais en jetant de temps à autres des coups d’œil furtifs, Faye pouvait voir que leur nombre diminuait progressivement. Kalian faisait du beau travail. Vint un moment ou plus aucun poursuivant ne restait. Mais Faye ne s'arrêta pas de courir : elle savait que les reste n'allait pas tarder.
Elle arriva enfin à la voiture qui attendait de partir. Avec Thomas en conducteur, alias Barbe Bleue, ils étaient sûr de s'en tirer. Elle s'arrêtera devant la portière conducteur, le temps de prévenir Thomas qu'on allait partir en urgence.

Faye interrompit son discours, sa mine s'assombrissant, les larmes lui montant aux yeux. Autour d'elle, tout le monde se demandait ce qu'il lui arrivait.

- Thomas, prépares-toi, on va devoir part …

Faye poussa un grand cri d'effroi. Thomas était bien là, assit à sa place. Ou plus exactement avachi dans son siège, les bras pendant le long du corps. Une tache rouge se répandant sur son front. C'est alors que Kalian arriva.




Vou-a-la ! Si jamais il y a un truc qui va pas, hésitez pas à me dire Wink
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





textes du 22 novembre  Empty
MessageSujet: Re: textes du 22 novembre    textes du 22 novembre  Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
textes du 22 novembre
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Textes du 11/04/13
» Textes du chapitre 1
» tous les textes qui manquent pour la fin de l'histoire
» textes de la trame des vacances
» textes corrigés concert métal

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Les plumes noires :: Lycée :: Archives :: Textes et Personnages-
Sauter vers: