En fait non. Il n'y avait rien, il n'y aura rien, et au final, ça m'est égal. J'ai mieux à faire. Il n'y eu ni étincelle ni déception, juste un peu de réflexion.
Tout cela m'aurait été inutile, pesant, et finalement douloureux. Parce que ça se serait terminé un jour, brutalement où non. J'ai choisis de jeter par dessus mon épaules les fleurs que je n'ai pas encore planté. Que quelqu'un d'autre les prenne, les plante et les fasse pousser. Qu'il les chérisse jusqu'à la mort ou les arrache par la suite m'est indifférent. Peut-être aurait-elle donné un merveilleux jardin, mais il n'y aura aucune larmes sur les écailles de ces chimères. D'autres on déjà pris leur place.
Je laisse les étincelles aux enfants. Un brasier m'attend ailleurs.