Ce n'était qu'une spectatrice....

Rigolo. C'est tout ce que la spectatrice trouve a redire sur les sourires niais, les étreintes longues et croulantes de guimauves. Elle ne devrait peut-être pas s'aventurer, étant elle aussi blottie dans les bras d'une personne, chère à ces yeux et bien plus encore. Mais à ses côtés, elle ne peux s'empêcher de rire, car tout, tout, tout paraît si faux. De leurs sourire à leurs gestes gênés, maladroits, sans vraiment savoir que faire ou que dire. Pourtant, l'attitude à adopter ne vient-elle pas seule dans ce genre de situation, seule et d'instinct ? Ils sont raides, raides et pudiques et cela la fait rire. Cela la fait rire car elle repense à des personnes qui s'aimaient vraiment, et elle trouve cela beau. Oui, elle trouve cela beau, deux corps qui ne sont pas juste cotes a cotes tels des étrangers mais qui se ressentent, s'adaptent à l'autre sans qu'un seul regard ne soit échanger... Être ensemble et vouloir avancer ensemble, en effet, cela ne se fait pas juste en se regardant dans le blanc des yeux et en gloussant comme des pintades ... vous savez cet animal aussi pitoyable sue maladroit ?

A côté de ce bonheur trop factice, ou alors trop neuf, trop dégoulinant et tellement groupé, un bonheur tel que la spectatrice, de son perchoir à l'impression qu'ils crient tous leur statue quo, qui veut dire, c'est bon maman je suis un jeune adulte ! A côté de cela, d'autre personne, continue de rire, de sourire mais ce sente de côté, mis a part, car eux n'ont pas la maturité des sentiments partagées, de la proximité corporel, ils n'ont pas trouver leur double qui leur renverra leur bonheur puissance dix dans l'éclat d'un sourire. Et alors ? sont elles pour autant des parias, des parjures, des personnes qu'il faut exclure parce qu'elles n'ont pas de paires de seins et un vagin a disposition, ou une bite, avec une paire de couille, et des lèvres à embrasser ? la spectatrice fulmine, elle hait ces personnes qui s'unissent de manière charnelle sans avoir une once de conversation pour autre chose que des engueulades. elle fulmine de la colère palpable qui transpire de la peau de ses amis. Après tout, aimer, ce n'est pas ce cercle vicieux de m'as tu vu. Alors, elle ne pretendra pas aimer de la manière la plus adulte qui soit, mais elle espère ne pas ressembler, à ces personnes qui lui donnent envie de vomir sur de la guimauve en plastique. Il vaut mieux être seul que mal accompagne, bizarrement, cette phrase prend tout son sens...