Tu es mort vendredi vers 15h.
Cela fait même pas un jour et tu nous pourris déjà la vie. Oui, je sais, je te manque singulièrement de respect en écrivant ces lignes, mais mérites-tu seulement quelque chose ?
Toute ta vie, tu as fait du mal autour de toi, comme un virus que tu propageais dans ton sillage. Et les victimes collatérales de cette histoire sordide, se sont tes enfants.
Ouais, tu sais, les quatres gosses dont tu as pourri l'innocence ? Ben aujourd'hui, ils souffrent encore à cause de ta connerie. Tu fais chier, vieux con.
Des larmes ont été versées à cause de toi, des larmes et beaucoup de colère, mais tu ne mérites ni l'un, ni l'autre.
Tu n'es rien pour moi, je ne suis rien pour toi. C'est très bien ainsi.
Je ne te souhaite ni le Paradis, ni l'Enfer. Juste l'indifférence la plus totale. Que l'on oublie jusqu'à ton existence même. Que les gens ne se souviennent même plus qu'un semblant d'être vivant comme toi aie pu un jour vivre sur cette planète.
Tu ne méritais ni la vie, ni l'amour, ni la mort. Tu as eu au moins deux de ces choses. Ce monde est vraiment injuste.
Je t'écris ces lignes aujourd'hui pour te demander de bien vouloir dispparaître à présent. On ne veut pas de toi, qui détruit chaque bonne chose, alors vas t'en.
Disparais dans l'indifférence.
Quelqu'un qui vait un vague lien de parenté avec toi